Sic transeunt desideria mundi

Un con­flit ter­ri­ble entre la Pensée Unique et l’Eglise catho­li­que est sur le point d’é­cla­ter. Le réfé­ren­dum irlan­dais n’e­st que le der­nier ava­tar d’un long pro­ces­sus de déchri­stia­ni­sa­tion de l’Occident qui a com­men­cé il y a plus de 500 ans. Dans cet arti­cle den­se et apo­ca­lyp­ti­que, Antonio Margheriti et Vittorio Messori décryp­tent pour nous l’ac­tua­li­té à la lueur de l’hi­stoi­re et nous mon­trent que ce pro­ces­sus ne doit rien au hasard ni à une éro­sion natu­rel­le des croyan­ces. S’en suit une com­pa­rai­son éton­nan­te avec les der­niè­res révo­lu­tions occi­den­ta­les avant de nous révé­ler une véri­té sai­sis­san­te et ter­ri­ble­ment actuel­le. Un arti­cle à lire et à médi­ter abso­lu­ment.

Je ne suis pas Charlie

Quand la sati­re oublie l’intelligence et tom­be dans la vul­ga­ri­té, elle n’est plus qu’une for­me de fana­ti­sme dis­si­mu­lé : elle n’a pas l’intention de rire du mon­de en le repré­sen­tant sens dessus-dessous mais bien de le ren­ver­ser, avec une volon­té de puis­san­ce, pour le domi­ner en détrui­sant ses adver­sai­res par des allu­sions calom­nieu­ses.

Pourquoi nous ne pouvons pas être Charlie

Une brè­ve remar­que sur Voltaire afin de clô­tu­rer défi­ni­ti­ve­ment le débat : il n’a jamais dit ni pro­non­cé le célè­bre « je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites mais je me bat­trai jusqu’au bout pour que vous puis­siez le dire » mais en revan­che il avait l’habitude de clô­tu­rer ses let­tres par « écra­sons l’infâme » en se réfé­rant prin­ci­pa­le­ment aux « fana­ti­ques » catho­li­ques.