L’équipe du Pape François aux manettes de l’Église. Tous jésuites
Incroyable mais vrai. Alors même qu’elle a perdu une bonne moitié de ses effectifs en quelques décennies…
Incroyable mais vrai. Alors même qu’elle a perdu une bonne moitié de ses effectifs en quelques décennies…
Ce synode sur l’Amazonie est le second d’affilée dans lequel François a déçu les attendes de ceux…
Le synode sur l’Amazonie étant à présent derrière nous, il ne reste qu’à attendre ce que le…
Le journaliste romain Marco Tosatti explique ce qui vient de se passer au cours du Synode sur l’Amazonie. La conférence épiscopale allemande, le principal bailleur de fonds du Saint-Siège, est richissime mais est écartée du pouvoir en Allemagne parce que les politiques lui reprochent notamment ses prêtres célibataires, le manque de pouvoir donné aux femmes et son refus des mariages homosexuels assez peu dans l’air du temps.
Or les Allemands sont aussi les grands financiers de l’Église du Brésil depuis des décennies, la Théologie de la Libération est d’ailleurs née en Allemagne et a prospéré grâce à des évêques d’origine germanique : Mgr Kraütler, par exemple, qui s’est vanté de n’avoir jamais baptisé un seul Indien ; ainsi que Mgr Spengler, Mgr Hummes et d’autres encore.
Si ces réformes souhaitées par les Allemands avaient été soumises à l’approbation des évêques lors d’un synode universel, elles auraient été recalées. Alors on a trouvé cette astuce d’un Synode sur l’Amazonie organisé à Rome, recouvert d’un vernis environnementaliste très à la mode, et ne réunissant que les quelques évêques acquis à la cause des Allemands, pour faire passer en catimini les réformes souhaitées au nez et à la barbe de l’Eglise.
Bien sûr, ces prélats savent que la théologie de la libération a vidé les Églises catholiques au Brésil et a transformé les religieux locaux en activistes sociaux, voire marxistes et que ces mêmes solutions ont déjà été adoptées il y a 20 ans par les anglicans et ont causé l’effondrement rapide de leurs Églises mais ils n’en ont cure: à court terme, cela leur sera profitable en Allemagne. Et après eux, les mouches.
Le Synode sur l’Amazonie a terminé ses travaux aujourd’hui 26 octobre avec le vote point par point…
À la dernière conférence de presse, bondée, du synode sur l’Amazonie de ce vendredi 25 septembre, s’était…
C’est à lui aussi que les quatre cardinaux avaient adressé leur cinq dubia sur l’interprétation d’Amoris Laetitia en lui demandant de « faire la clarté ». Ni lui, cardinal Gerhard L. Müller, préfet de la congrégation pour la doctrine de la foi, ni encore moins le pape n’avaient jusqu’à présent répondu à leurs questions. Mais à présent, le cardinal Müller fait toute la clarté, et comment ! Dans un entretien-fleuve publié aujourd’hui dans la revue « Il Timone », il en profite pour critiquer au passage ces évêques qui, par leurs « sophismes » interprétatifs, plutôt que de guider leurs fidèles préfèrent « courir le risque qu’un aveugle conduise un autre aveugle ».
Si l’effet évident de la révolution de Luther sur le mariage lui a servi de prétexte pour jeter le froc aux orties ainsi que pour permettre aux princes de répudier leurs épouses légitimes et de vivre en polygamie, c’est surtout sur le plan de la doctrine que tout allait progressivement changer. Il faut toujours tenir compte d’un élément important: Luther considérait en permanence la noblesse germanique comme étant son interlocuteur privilégié parce qu’il en avait besoin pour triompher dans son combat contre Rome. Et la noblesse germanique, comme celle des autres pays, s’opposait à Rome non seulement sur des questions de politique et de pouvoir mais également sur la doctrine du mariage.
Les évêques dans les journaux et les journaux des évêques acclament en chœur le sacrilège : l’enfant qui a rompu l’hostie pour la donner à son père divorcé remarié : une mise en scène selon moi, des foutaises selon d’autres. Mais qu’on me pardonne : qui est celui qui a tant besoin de nos mensonges mêlés à la vérité ? Qui est l’inspirateur du sacrilège ? Qui est le père du mensonge ? Tel l’oracle du Seigneur et le Seigneur des cieux nouveaux et de la terre nouvelle, on a réveillé le Serpent et ses sifflements s’élèvent dans le Sanhédrin, résonnent dans le temple et retentissent hors du temple jusque dans le monde, provoquant un tonnerre d’applaudissements, de pleurs et de rires.
Je contemple les voûtes de cette église de quartier que je n’ai jamais aimée et que je n’avais jamais considérée comme ma maison. Cette fois, oui, je me sens en famille, je fixe ces voûtes et elles me semblent infiniment chères. On dirait la charpente du ventre d’un grand bateau perdu en pleine tempête au beau milieu de l’océan. Et je me sens moi aussi sur la barque de Pierre avec Jésus à bord qui fait semblant de dormir. Et ma panique se calme et se transforme en rire lorsque le Messie ouvre un œil, qu’il me fixe et qu’il dit à voix basse : « Ne craignez pas : je suis là, ne le voyez-vous pas ? Allons, du calme… voyons ce que font les autres, et Pierre. Toi, fais semblant de rien. »
Certains se demandent ce que le Synode sur la famille apportera de nouveau. Et si tout avait déjà été dit il y a plus de 2000 ans? Le message de Jésus doit-il être actualisé – remis dans son contexte historique – ou est-il au contraire une vérité immuable ? Le Christ est-il la Vérité ou faut-il reconnaître une égale vérité en chaque conscience individuelle? Faut-il laisser une grande marge de manœuvre aux évêques ou l’unité est-elle préférable? L’Eglise doit-elle évoluer avec les mentalités du monde ou n’est-elle justement pas du monde? Et si nous laissions le Christ prendre la parole au Synode, que dirait-il?
Depuis la fin des années 1950 du siècle dernier, des montagnes de temps et d’argent ont été investis pour chercher une cause biologique à l’homosexualité, quelque chose sur la base de quoi on aurait pu affirmer que l’on est « homosexuel de naissance ». Au fur et à mesure que la technologie progressait, on a exploré des possibilités hormonales, chromosomiques, cérébrales, génétiques, épigénétiques. Le résultat est toutefois toujours le même : on ne trouve rien. Même si l’hypothèse de la cause biologique de l’homosexualité est encore répandue dans le grand public, au niveau scientifique elle semble définitivement dépassée.