L'IA et le sanctuaire : l'appel d'un juriste à tracer les "lignes rouges" contre le totalitarisme numérique.

Un prê­tre catho­li­que peut-il con­fier ses homé­lies à ChatGPT ? L’intelligence arti­fi­ciel­le a‑t-elle voca­tion à évan­gé­li­ser, à célé­brer la mes­se ou à ren­dre la justi­ce à la pla­ce de l’homme ? Faut-il crain­dre un tota­li­ta­ri­sme numé­ri­que qui rédui­rait les citoyens à de sim­ples spec­ta­teurs d’un mon­de diri­gé par des algo­ri­th­mes ?

Luigi Trisolino, juri­ste à la Présidence du Conseil ita­lien, avo­cat, titu­lai­re d’un doc­to­rat en droit, jour­na­li­ste et poè­te catho­li­que enga­gé, nous répond sans lan­gue de bois. Face aux risques du tran­shu­ma­ni­sme, de déshu­ma­ni­sa­tion et de la per­te de liber­té, il appel­le l’Église et les États à tra­cer des lignes rou ges éthi­ques clai­res. Une inter­view choc qui ose poser la que­stion : jusqu’où laisserons-nous la machi­ne voler ce qui fait notre âme ?

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