Le synode parle tout seul. En attendant, en Italie, deux jeunes sur trois ne croient plus en Dieu
Il y a un gouffre entre les questions débattues parmi les trente-cinq tables du synode sur la…
Il y a un gouffre entre les questions débattues parmi les trente-cinq tables du synode sur la…
Pour remplir les églises vides, aujourd’hui tout est permis. Tout, sauf être intégriste bien sûr car il s’agit de l’unique péché restant, du seul péché originel qu’il soit encore possible de commettre. On peut tout penser, tout changer, tout dire et tout faire, tant qu’on est pas intégriste. N’a-t-on pas tendance à accuser un peu vite ces intégristes de tous les maux ? Ce dialogue prôné par les modernistes n’est-il pas parfois un compromis entre le bien et le mal ? Cette obsession de faire salle comble à tout prix est-elle vraiment sans risque ?